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TheBeaver's Blog Des bosses, des bleus à l'âme mais toujours debout !

30 mai 2012

Petite présentation

Après avoir fait l'expérience d'une autre plateforme moins sérieuse (Skyrock (sans commentaire…)) sur laquelle j'ai publiée une fanfiction (ici si cela vous intéresse) et avoir subi quelques dragues intempestives j'ai décidé de me lancer officiellement...
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24 mars 2014

The Mirabeller

Alors voilà, ceci est mon dernier message sur ce blog. Je n'ai plus grand chose à y faire, et franchement, il ne me correspond plus vraiment. J'ai besoin d'un nouveau départ, de quelques choses de neuf, et ce blog ne correspond pas à la personne que je suis devenue. Je souhaite remercier ce qui m'ont suivie et leur indiquer qu'il peuvent continuer à me suivre, puisque j'ouvre un nouveau blog ! Je compte comme ici y publier mes textes, poèmes et dessins, peut être quelques guitar covers et comme je me suis récemment prise d'engouement pour la photo, pourquoi pas aussi y montrer mes grands talents (beaucoup aidés par Aviary il est vrai). ce fut un réel plaisir de tenir ce blog, et pour ceux qui souhaitent continuer à me suivre, c'est par ici --> http://claramirabelle.canalblog.com/ Go ahead, and enjoy !

 

The Beavoir vous salue une dernière fois

7 octobre 2013

A singing me !

A l'occasion de l'anniv' de mon père j'ai accepté (fait rare, très rare !) de chanter et comme il m'a filmé pour montrer aux cousins, je me suis dit que je pouvais partager ça ;)

http://www.youtube.com/watch?v=Ki_hFIIUqoo

http://www.youtube.com/watch?v=VOmYmAWEAfg

 

Pas de vidéo direct sur le blog parce qu'il fallait passer par Dailymotion et que j'avais la flemme de me créer un compte :p Donc ça renvoie direct à ma page Youtube :)

Hope you'll enjoy it ! Commentaires constructifs bienvenus!

 

TheBeaver vous salut !

7 septembre 2013

J'arrive pas vraiment à me souvenir de la

J'arrive pas vraiment à me souvenir de la dernière fois où j'ai mis mon blog à jour (je me souvenais même pas du mot de passe --"). Bref, j'écris pas trop en ce moment par contre je dessine un peu. Voici trois dessins inspirés par le shooting de Naya Rivera dans Complex. Honnêtement je sais pas trop ce que ça vaut comme dessins mais les voilà ! (j'espère qu'ils seront dans le bon sens parce que quand je les mets là, ils sont un peu à l'envers --")

naya_complex_cover

naya_complex

naya_strippoker

 

(après vérification ; rien à faire is sont à l'nevers --" (non, je n'ai pas vraiment la bosse de l'informatique :p))

(Le premier c'est du crayon de couleur et les deux autre du crayon aquarelle (d'où le rendu, disons, étrange :p)

(J'adoooooore Naya Rivera !!!)

11 mai 2013

Dernièrement, je savais pas quoi faire alors je

Dernièrement, je savais pas quoi faire alors je me suis inscrite sur Twitter ; encore un truc qui va beaucoup me servir... Enfin bref, follow me ! @SignorinaBeaver

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10 avril 2013

En ce moment je suis en froid avec une personne

En ce moment je suis en froid avec une personne qui compte beaucoup pour moi, alors voilà :

Une larme noire roule sur ma joue,

Ça y est je suis à bout.

Tu ne comprends donc pas

Que sans toi rien ne va ?

A ta présence j'étais habituée,

Tu me manques. Est-ce si compliqué ?

J'ai compri mon erreur,

Tu as crié, je pleure.

J'aimerai t'expliquer

C'que tu n'veux plus écouter.

Sourde à mes excuses,

Comprends tu que t'abuses ?!

Allé je le dis encore une fois,

Oui je le dis, j'ai besoin de toi.

Tu gardes le dos tourné,

Est-ce donc désespéré ?

Je n'existe pas ?

On ne se connait pas ?!

Allé retourne toi,

Bordel, j'ai besoin de toi !

 

Et puisque'il faut avancer,

J'avance mais je te cherche à mes côtés.

Je vais sur mon chemin,

Et je rêve qu'un matin

Tu reprennes ma main,

Ce dont j'ai tant besoin.

 

TheBeaver vous salue !

20 mars 2013

AMOPA 2013 bis

Bon bah voilà, je n'ai pas été pré-sélectionné pour le concours AMOPA. On va pas se mentir, je suis un peu déçu. Du coup je met le texte que j'avais écrit pour l'occasion. Enjoy :)

 

Matts

    "Il s'engagea dans la ruelle. C'était un endroit qui faisait froid dans le dos mais c'était néanmoins un excellent raccourci pour rentrer chez lui ; et ce soir, il voulait rentrer vite, il avait des excuses à présenter. C'était un endroit franchement sordide, les immeubles qui bordaient le passage étaient aveugles, le sol pavé en pente formait en son milieu une rigole d'eau douteuse et de gros rats le dévisageaient méchamment. Il resserra son poing autour du bouquet, des roses blanches, ses préférées. Sentant une présence dans son dos, il hâta le pas. Derrière lui, l'individu accéléra. Sa dernière pensée fut que cela avait été une très mauvaise idée de passer par là. La balle l'atteignit en plein entre les omoplates. En tombant avec lui, les roses prirent une délicate teinte rouge."

    Restait à savoir s'il allait mourir ou pas. J'avais toujours éprouvé une certaine répugnance à tuer mes personnages, surtout quand (comme c'était le cas maintenant pour celui-ci) je les connaissais bien. Et puis, il s'apprêtait à racheter sa faute. A court d'idée, je repoussai violemment mon ordinateur et posai la tête sur mon bureau.

    Matt était un de mes plus vieux personnages, peut-être même était-ce le premier que j'avais créé. Je le suivais déjà depuis deux romans. Non, je ne pouvais décemment le tuer. Et puis, j'avais commis l'erreur idiote de lui donner le même prénom que moi ; le tuer serait presque revenu à me tuer… Mais en même temps, en me débarrassant ainsi de lui, je pourrais repartir du bon pied et donner un nouveau souffle à mes romans. En désespoir de cause, je décidai d'agir comme il l'aurait fait (ou peut être était-ce lui qui agissait comme moi), je sortis prendre un verre, dérangeant au passage le chat qui avait élu domicile sur mes genoux.

    J'avais mal choisi mon quartier en m'installant ici. Le premier bar était distant de mon appartement d'une bonne dizaine de rues et il fallait encore le dépasser d'un pâté de maison pour trouver un endroit où l'on servait une bière buvable. Pour la première fois, je me rendis compte à quel point j'avais calqué la vie de mon personnage sur la mienne. Lui aussi vivait à des lieues de tout bar potable, lui aussi avait un chat, lui aussi avait des problèmes avec les femmes. Je m'étais créé une sorte de jumeau, mais comme c'est le cas dans les familles, l'un avait mieux réussi que l'autre, et ça n'était pas moi.

    Il bruinait légèrement lorsque je poussai la porte du bar après un bon quart d'heure de marche. En me voyant arriver, le patron s'écria : "Alors Matt, c'est la page blanche ?!" (j'étais ici une sorte de phénomène de foire). Je hochai la tête et pris l'air de déterré de circonstance. Sans prendre la peine de me le demander, il posa devant moi ma bière habituelle. J'en fixai un instant la mousse blanchâtre avant de penser que si je voulais me débarrasser de mon double, il fallait peut être que je cesse d'agir comme lui. Je repoussai la chope et commandai à la place un verre de vin rouge. Derrière moi, j'entendis un habitué expliquer à un petit nouveau qui j'étais, car naturellement, il ne le savait pas. Mon premier livre s'était vendu à un total de 37 exemplaires et le second qui avait vu le jour grâce à l'optimisme débridé de mon éditeur avait quand à lui culminé à 19 exemplaires.

    Je trempai les lèvres dans mon ballon de vin et le reposai brutalement, je compris pourquoi Matt ne buvait pas ça, c'était absolument infect. Je fis un signe pour que l'on m'apportât une bière, attirant de nouveau l'attention sur moi. Elle était tiède, Matt ne l'aurait pas bu, il n'en buvait que des glacées.

    Je semblais irrémédiablement imbriqué à Matt. A tel point que (je le savais) je n'éteignais jamais mon ordinateur afin de pouvoir être avec lui dès que j'en avais l'envie. Je ne m'étais pas contenté de le créer à mon image, je l'avais en plus doté de qualité dont je ne disposais pas pour en faire un être plus fort, plus intelligent, plus beau ; mais je n'avais pas gommé mes défaut afin d'en faire tout de même un être humain. Matt était un personnage attachant et malgré quelques aspects agaçants, sa femme Ellen ne l'avait jamais quitter et s'en occupait avec tendresse. Qu'en était-il de mon Ellen sur ce plan ?

    Je renonçai à ma bière tiède et quittai le bar non sans avoir méticuleusement recompté la monnaie et l'avoir séparé en deux parts égales pour en laissé la moitié en pourboire. C'était ce que faisait Matt.

    Dehors, la pluie avait cessé mais le ciel bas et gris semblait menacer de s'effondrer sur ma tête à chaque instant. Je décidai d'appeler Ellen. Elle répondit dès la première sonnerie.
"- Allô ?
- Allô Ellen, c'est Matt.
- J'sais bien que c'est Matt. Qu'est-ce que tu m'veux ?
- Qu'est-ce que tu fais ce soir ?
- Je ne sors pas avec toi.
- Et à part ça ?
- Je compte regarder un film.
- Peut-être peut-on le regarder ensemble comme avant…"
J'avais appris de Matt qu'il pouvait être utile de prendre les femmes par les sentiments. Cependant, elle eu un rire moqueur :
"- Comme avant, vraiment ? Et puis tu partiras en plein milieu pour aller retrouver ton chat et ton ordi et je resterai seule comme une pauvre cloche devant un film romantico-nunuche ?
- Pas cette fois ci, je te le promet. Et d'ailleurs, ajoutai-je, tentant une pointe d'humour, nous regarderons un film d'action."
Je pouvais presque la voir sourire devant mes pitoyables efforts. Je tentais de me rappeler ce qu'aurait fait Matt dans la même situation. Je n'en eu pas besoin.
"- Ça me  branche, dit-elle.
- Vingt heures chez moi ? Je ferai à manger."
Je me rappelais que Matt avait dit un jour que les femmes aiment les hommes qui cuisinent.
"- J'y serai. A propos, comment avance ton roman ?
- Matt se porte bien, merci pour lui."
Elle sembla un peu déstabilisée par ma réponse mais fini par me saluer avant de raccrocher.

    Je mis quelques instants à comprendre ce qui l'avait surprise dans ma réponse ; je lui avais donné des nouvelles de Matt et non de mon roman, comme s'il menait une vie totalement indépendante de la mienne, ce qui était absurde, c'était mon personnage, j'exerçais un total contrôle sur lui. Une pensée m'effleura cependant l'esprit et s'y imposa avant que je n'ai eu le temps de l'en chasser. Et si c'était moi le personnage. Et si c'était lui qui était derrière l'écran. Je n'étais peut-être qu'une création, un être de papier. Ça n'était peut-être pas lui qui était mon double, mais moi qui était le sien. Et alors mon Ellen était un double de son Ellen, et mon chat un double de son chat, et… Stop ! Je devais me reprendre, ça n'était qu'une vulgaire pensée qui m'avait traversée l'esprit, une peur momentanée, une panique fugace, mon imagination qui s'était emballée l'espace d'un instant. Rien ne venait prouver ce que je venais d'imaginer. Mais, rien non plus ne le réfutait. Je me sentais pris au piège. Cependant, si j'étais en train de penser, c'était bien que j'existais. Il me vint à l'esprit que c'était peut-être Matt qui me dictait mes pensées. Une fois de plus, je m'imposai le silence. Tout ceci était absurde. Cette réflexion avait été causée par une surcharge de travail. En rentrant à la maison, j'éteindrais mon ordinateur et me séparerais de Matt pour quelques temps. Puis je proposerais à Ellen de partir en week-end à la campagne, nous emmènerions le chat et ferions du cheval.

    Ces projets rationnels rétablirent un peu d'ordre dans mon esprit. Je décidai de m'arrêter chez le fleuriste. Je choisis des roses blanches, les préférées d'Ellen. La nuit commençait à tomber, et comme le ciel était déjà sombre, l'obscurité se fit d'autant plus rapidement sur la ville. Je décidais pour rentrer plus rapidement de prendre un raccourci bien qu'il ne me faille pour cela passer par un quartier que j'affectionnais peu.

    Je m'engageai dans la ruelle. C'était un endroit qui faisait froid dans le dos, un endroit plus que sordide. Les immeubles qui bordaient le passage étaient aveugles, le sol pavé en pente formait en son milieu une rigole d'eau douteuse et de gros rats me dévisageaient méchamment. Je resserrai mon poing autour du bouquet. Sentant dans mon dos une présence, je hâtai le pas. Derrière moi, l'individu accéléra. Ma dernière pensée fut que cela avait été une très mauvaise idée de passer par là. La balle m'atteignit en plein entre les deux omoplates.

    Matt s'approcha du corps de Matt et ramassa une des roses délicatement teintées de rouge.

 

TheBeaver vous salue !

13 mars 2013

Quand je troque ma plume contre mon crayon ça

IMG_0001

Quand je troque ma plume contre mon crayon ça donne ça. J'avoue, ce dessin est zarb, par exemple, on dirait que la fille à la tête à l'envers, dans l'optique elle était juste de profil :) La fille c'est moi, et comme ça amis lecteurs vous en savez un peu plus sur moi :)

TheBeaver vous salue !

 

13 mars 2013

Petit délire sur Zazie dans le métro (réalisé en cours comme il se doit :p)

Bon c'est pas du grand art mais on s'occupe comme on peut. Spéciale dédicace à tous les terminals L :)

 

La ptite Zazie vint à paris

Voir son tonton Gabriel

Elle y foutu la merde Zazie

Bouleversa tout autour d'elle

Dans Paris Gab la trimballa

Mais elle s'en foutait Zazie

Car le métro elle ne vit pas

Et y a que ça à Paris

Le Panthéon c'est la Mad'leine

Une église pour un marida

La Sainte Chapelle est une caserne

Fédor les touristes il couillona

Y a un perroquet dépressif

Qui répète une phrase c'est mignon

Et si on est bien attentif

C'est la morale de c't'histoire à la con

Gabriel est Gabriella

Et Marceline est Marcel

Et en gros si tu comprends pas

C'est un truc d'hormossessuel

La ptite Zazie n'eut pas de chance

Car le métro elle ne vit point

Mais au fond on s'en balance

L'avait qu'à pas dormir à la fin

 

J'adresse mes plus sincères excuses à Raymond Queneau parce qu'elle est pas si mal son histoire (comparée à Lorenzaccio…)

4 mars 2013

AMOPA 2013

Salut salut, j'ai participé au concours AMOPA (résultat le ?). Voici deux poèmes écris pour l'occasion.

Le monde mourra d'amour

Le monde mourra d'amour
D'avoir trop aimé ceux qui ne s'aimaient pas.
Le monde mourra des haines,
Dans la douleur dans la peine,
Il s'étouffera dans les colères,
Se noiera dans les chagrins,
Gèlera sous les regards,
Et brûlera des querelles.
Le monde mourra, aujourd'hui, ou demain
Mais il mourra c'est certain.
Des frères qui se sont battus,
De ceux qui ont tués,
De ceux qui ont haïs,
D'avoir cru en l'humanité
De ceux là et des autres,
Il mourra.
Pour vous qui ne vous aimez pas,
Il mourra.
De vos cris de vos haines,
Il mourra.
Pour ceux qui ne s'aimaient pas,
Pour ceux là, pour les autres,
Le monde mourra d'amour.

 

Le soleil c'est levé

Le soleil c'est levé sur les pétales d'une rose,
Et de tant de beauté trop indigne est la prose.
Le soleil c'est levé sur l'eau calme et brillante,
Le sable a scintillé sous l'onde transparente.
Une branche a ployée sous le poids de l'oiseau
Qui a jeté un cri vers le ciel bleu et haut.
Une goutte de rosée a perlé sur la feuille,
Et à l'orée du bois est venu le chevreuil.
Au bord de la rivière est venu boire le chat.
Les gravillons humides ont conservé ses pas.
Le soleil c'est levé sur la campagne reine
Et il a caressé la nature reine.

 

Peut importe les résultats (oui je sais je mens mal ;) ) l'important c'est que je me suis éclatée !

TheBeaver vous salue

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